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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 09:19
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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 09:46
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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 09:42
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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 09:17
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17 janvier 2009 6 17 /01 /janvier /2009 19:34

Une femme de Médine vint se plaindre de son mari auprès de Aïcha radiaAllahu 'anha. Celle-ci lui conseilla d'attendre l'arrivée du Prophète (saw)
Lorsque celui-ci arriva, la femme lui exposa les griefs qu'elle avait contre son mari.
Le Prophète (saw) lui conseilla alors: "Va! Ecoute ton mari et obéis-lui!"
 La femme demanda alors:"quelle récompense en recevrai-je ?"

Le Prophète(saw) lui aurait alors dit:
"Il n'est pas de femmes qui prenne quelque chose de la demeure de son mari pour le remettre à sa place, au compte de laquelle Allah n'inscrive une bonne action, n'en éfface une mauvaise, et qu'il n'en élève d'un degré.

Il n'y a pas de femmes qui soit enceinte de son mari sans qu'elle reçoive la même récompense que celui qui veille la nuit, jeûne le jour et combat dans la voie d'Allah.

Il n'est pas de femmes, en accouchant, qui ne reçoive la récompense d'un affranchissement, et de même lorsqu'elle allaite son enfant.
Lorsqu'elle sèvre son enfant, un ange, dans le Ciel l'appelle et lui dit :'O femme! Tu n'as plus à te préoccuper de tes oeuvres passées.
Recommence un nouveau compte pour ce qui te reste de ta vie.'"

Aïcha radiaAllahu 'anha, présente à l'entretien, dit alors:"les femmes ont reçu beaucoup. Et, vous, les hommes, que vous reste-t-il ?" "Il n'est pas un homme qui ne prenne la main de sa femme pour la cajoler au compte duquel Allah n'inscrive une bonne action.

S'il l'embrasse, ce sont deux bonnes actions.
S'il s'unit à elle, cela vaut mieux que ce monde et tout ce qu'il contient.
Lorsqu'il se lève pour se purifier, l'eau ne passe pas sur un seul poil de sa barbe sans que ne soit inscrite, à son compte, une bonne action, effacée une mauvaise, et qu'il ne soit élevé d'un degré.
Ce qu'il reçoit pour une grande ablution est préférable à ce monde et à tout ce qu'il contient.
Allah vante cet homme auprès des Anges: "Voyez mon Serviteur, qui
s'est lavé dans la nuit froide afin de se purifier de l'impureté
majeure, tout plein den certitude que Je Suis Son Seigneur. Soyez
témoin que Je lui Pardonne"

Hadith raporté par Tirmidhi,
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17 janvier 2009 6 17 /01 /janvier /2009 16:06

II y avait parmi les Fils d'Israël trois hommes : un lépreux, un aveugle et un chauve... Décrétant de les éprouver, Allah leur envoya un ange.

Ce dernier vint dire au lépreux :
"Qu'est-ce que tu aimes le plus ?
— Les gens me trouve répugnant, répondit le lépreux, je veux bien avoir un beau teint et une belle peau."
Sur ce, l'ange lui essuya la peau et l'homme de voir [la lèpre] disparaître en cédant la place à un teint et une peau beaux.
"Quel est le bien que tu aimes le plus, interrogea de nouveau l'ange ?
— Les chameaux (ou: "des vaches"; il y a doute de la part du râwi; [de toute façon], du lépreux et du chauve, l'un dit "les chameaux" et l'autre dit "les vaches"). On lui donna une chamelle pleine de dix mois et l'ange lui dit : "Pour toi, elle sera bénie."

Il s'adressa ensuite au chauve et lui dit : "Qu'est-ce que tu aimes le plus ?
— Une belle chevelure, répondit l'homme."
En effet, l'ange lui essuya [la tête] et l'homme eut tout de suite une belle chevelure.
"Et quel est le bien que tu aimes le plus ? interrogea de nouveau l'ange
— Les vaches." Il lui donna une vache pleine en lui disant : "Pour toi, elle sera bénie."

Il passa ensuite à l'aveugle et lui dit : "Qu'est-ce que tu aimes le plus ?
— Que Allah me rende la vue afin que je puisse voir les gens."
Et l'ange de l'effleurer. Allah lui rendit alors la vue. "
Et quel est le bien que tu aimes le plus ? reprit l'ange.
— Les moutons, fut la réponse de l'homme." Allah lui donna une brebis sur le point de mettre bas.

«Les trois virent la prolifération de leurs animaux ; le premier eut une vallée remplie de chameaux ; le deuxième, une vallée de vaches ; et le troisième, une vallée de moutons.

«Un jour, ayant repris la figure et l'aspect du lépreux [durant sa maladie], l'ange se présenta à celui-ci et lui dit :
"Je suis un homme malheureux, j'ai perdu tout ce que j'avais au cours de mon voyage ; et à part Allah et ton aide [que j'espère avoir], je ne peux arriver à destination... Je te conjure, par Celui qui t'a donné le beau teint, la belle peau et la richesse, de me donner un chameau pour continuer mon voyage.
— C'est que, répondit le lépreux, j'ai plusieurs charges à assumer.
— II me semble que je te connais, dit l'ange. N'étais-tu pas un lépreux que les gens répugnaient, et un pauvre à qui Allah a donné [des biens] ?
— Moi ! s'écria le lépreux ; mais cette fortune je l'ai héritée de mes ancêtres, qui étaient d'ailleurs des seigneurs.
— Si tu mens, puisse Allah te faire redevenir comme tu étais !"

«Il fit la même chose avec le chauve. Ayant eu la même réponse, il lui dit aussi : "Si tu mens, puisse Allah te faire redevenir comme tu étais !"

«Enfin, l'ange se rendit chez l'aveugle en ayant repris son même visage qu'autrefois. Il lui dit :
"Je suis un démuni, un voyageur ayant perdu toutes mes ressources pendant le voyage ; je n'ai personne à qui m'adresser, sinon Allah et toi.
Je te conjure, par Celui qui t'a rendu la vue, de me donner une brebis pour que je puisse poursuivre mon voyage !
— J'étais aveugle, répondit l'homme, et Allah m'a rendu la vue ; j'étais pauvre et II m'a rendu riche.
Prends ce que tu veux. Par Allah ! je ne t'infligerai rien que ce soit pour ce que tu prends en vue d'Allah.
— Garde ton bien ! répondit l'ange, tout cela n'a eu lieu que pour vous éprouver. Allah t'a agréé et manifesté Sa colère contre les deux autres."»
(bukhary n° 3464).
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15 janvier 2009 4 15 /01 /janvier /2009 10:17

Trois hommes marchaient lorsqu’un orage les surprit. Ils se réfugièrent dans une grotte. Un rocher se détacha de la montagne et boucha l’entrée.
L’un d’entre eux dit : " Que chacun de vous invoque Allah en Lui indiquant la meilleure action qu’il a faite pour obtenir Son amour ; invoquez-les et priez Allah, peut-être seriez vous délivrés de cette grotte ".

L’un d’eux commença par dire :

" Ô Seigneur ! j’avais un père et une mère, tous deux très âgés et des jeunes enfants. J’étais berger et tous les jours, je sortais faire paître le troupeau  ; puis, aussitôt rentré, je trayais les brebis et donnais à boire à mes parents avant mes enfants. Un jour, j’ai mené paître mes bêtes un peu loin, et je rentrai si tard que je trouvai mon père et ma mère endormis. Je ne voulais les déranger dans leur sommeil pour leur servir le lait, et il m’était désagréable de commencer par les enfants bien que ceux-ci pleuraient de faim à mes pieds. Je restai ainsi pendant toute la nuit jusqu’à l’aube. Ô Seigneur ! Si Tu sais que j’ai fait ça pour Ton amour, pratique-nous une ouverture qui nous permette de voir le ciel ".

Allah, le Très-Haut, ordonna alors de leur pratiquer une ouverture leur permettant de voir le ciel.

" Ô Seigneur ! J’avais une cousine que j’aimais très fort, aussi fort qu’un homme peut aimer une femme. Je me suis mis à la séduire, elle refusa à moins que je ne lui donne cent dinars. J’ai travaillé et ramassé cette somme. Je suis allé la trouver avec l’argent et alors que nous étions enlacés, elle me dit : "Ô Serviteur d’Allah ! Crains Dieu et respecte moi ! ". Aussitôt, je me levai et la laissai. Si Tu sais, Seigneur, que j’ai agi ainsi, seulement pour Ton amour, écarte nous cette roche ".

Et la roche s’écarta encore un peu.

 

" Ô Seigneur ! s’écria le troisième, j’avais employé un ouvrier moyennant un fariq de riz (c’est une mesure médinoise équivalente à huit kilos de riz). Quand il termina son travail, je lui présentai son salaire qu’il refusa de prendre le jugeant trop bas et s’en alla. Je pris alors le riz, le semai et plus tard je pus acheter, grâce au produit, des bœufs et employa des bergers. Quelque temps après, le même homme vint me trouver et me dit : " Crains Allah et donne-moi mon salaire et ne me lèse pas ".
- " Va prendre ces bœufs avec leurs bergers ", lui répondis-je.
- " Crains Allah et ne te moque pas de moi ! " me répliqua-t-il.
- " Mais non, je ne me moque pas de toi, lui dis-je, prends ces bœufs et leurs bergers ".
Seigneur ! Si Tu sais que j’ai fait cela pour Te plaire, délivre-nous ".

 


Allah ordonna alors
de leur ouvrir complètement
l’issue de la grotte.

Riyad as-Salihin (Les Jardins des vertueux)

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12 janvier 2009 1 12 /01 /janvier /2009 15:19

 

Quelle est l'action pour laquelle tu attends le plus de récompense?


Il répondit :

" Quand j'était jeune ma famille voulait me marier mais moi je refusais. Un jour une femme vint me dire :

" Ô Abou Uthmann! Je t'aime et je te demande par Allah de me prendre comme épouse. "

J'ai appelé son père qui était pauvre, il nous a marié et il en était heureux. Lorsqu'elle est venue vers moi, je l'ai vu borgne, boiteuse et déformée, son amour pour moi m'a empêché de sortir, et pour ne pas la blesser, je suis resté cachant mon aversion pour elle comme si j'étais assis sur des braises. J'ai passé ainsi quinze ans jusqu' à ce qu'elle meure.

La meilleure action que j'ai donc fait c'était de ne pas la blesser dans son cœur"

[Sayyid ul-khatir, pages: 635-636].

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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 09:26

Ibn Abbas (ra) rapporte du Prophète (sas) qu'il a conseillé un homme en ces termes :
"Tire bénéfice de cinq (choses) avant cinq (choses) : ta vie avant ta mort, ta santé avant ta maladie, ton temps libre avant ton activité, ta jeunesse avant ta vieillesse, ta richesse avant ta pauvreté"
Hadith Authentique rapporté par El Hakim 306/4

 

Ceci est un conseil plein de valeur et un rappel englobant beaucoup de sagesses de la part du Prophète (sas) qu'Allah a décrit comme étant :
"Compatissant et miséricordieux envers les croyants"(Sourate Tawbah verset 128).

 

 

 Et combien avons nous besoin de ce rappel !

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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 16:56

Un jour...



« Un jour, alors que nous étions assis auprès du Messager de Dieu(saws) , un homme aux vêtements très blancs et aux cheveux très noirs apparut. On ne voyait pas sur lui les traces du voyage et nul parmi nous ne le connaissait. Il s'assit devant le prophète, mit ses genoux contre les siens, posa ses mains sur ses cuisses, puis dit :

Ô Mohammed ! Informe-moi sur l'islam ! Le Messager de Dieu(saws) répondit :

- L'islam est que tu attestes qu'il n'y a de dieu qu'Allah et que Mohamed est le Messager d'Allah, que tu accomplisses la prière, donne l'aumône (zakât), jeûnes le ramadan et fasses le pèlerinage à la Demeure si tu peux y arriver.

- Tu as dit vrai, dit l'homme. Ce qui nous étonna : il l'interrogeait, puis le confirmait.

Il dit ensuite : Informe-moi donc sur la foi. Le prophète(saws) répondit :

- C'est de croire en Dieu, en ses anges, en ses livres, ses prophètes et au Jour dernier et de croire en la prédestination, en son bien et son mal.

- Tu as dit vrai, dit l'homme qui ajouta : informe-moi alors sur l'excellence (dans la façon d'être) !

- C'est adorer Dieu comme si tu le voyais. Or, si tu ne le vois pas, Lui te voit.

- Renseigne-moi sur l'Heure (dernière) ! reprit l'homme.

- Celui qui est intérrogé sur celle-ci n'en sait pas plus sur celui qui interroge.

- Alors renseigne-moi sur les signes avant coureurs.

- Lorsque la femme esclave (ama) enfantera sa maîtresse et lorsque tu verras les va-nu-pieds, sans habits, pauvres bergers, rivaliser dans la hauteur des constructions.

Puis l'homme s'en alla. Après un moment, le prophète(saws) me dit :

- `Omar ! Sais-tu qui posait les questions ?
- Dieu et son Envoyé le savent plus.

- C'est Jibrîl (Gabriel) ! Il est venu vous enseigner votre religion. »

Rapporté par Mouslim.

40 Hadiths An-Nawawi

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